Cela fait 12 ans que notre fille est décédée brutalement d'une embolie pulmonaire massive. (résultat de l'autopsie )
Elle avait souhaité prendre une mini pilule pour limiter les effets secondaires de la pilule "normale", mais sa gynécologue, très compétente et sérieuse, lui a d'abord demandé de maigrir, puis de faire une analyse des facteurs de coagulation et même une vérification des résultats.
tout étant OK, Cat. nous a téléphoné, ravie, qu'elle avait le feu vert pour prendre la fameuse pilule.
Tout semblait bien  aller, à part quelques troubles jugés alors "anodins",
mais le 20 décembre au matin ,elle nous annonce qu'elle a très mal au dos et qu'elle a pris R.V chez sa généraliste pour l'après-midi.
Elle n'aura pas le temps de s'y rendre, puisque en fin de matinée, elle appelle les pompiers qui arriveront juste avant qu'elle ne tombe dans le coma pour ne plus jamais se réveiller…
Depuis ce jour tragique, nous avons témoigné dans notre entourage, mais ne voulons pas laisser passer l'occasion de le faire à plus grande échelle pour que ces médicaments qui tuent cessent d'être fabriqués et pour que les jeunes femmes d'aujourd'hui puissent vivre la vie dont elles avaient rêvé.
En 2000 déjà, les risques devaient être connus par les spécialistes, vu la réticence de la gynéologue citée ci-dessus, mais peut-être pas évalués à leur triste record.