Le vendredi 4 janvier au soir en allant m'assoir , une violente douleur a l'épaule gauche me bloqua celle-ci completement.Le lendemain la douleur étant toujours là je partis chez mon médecin.Il a pense a une douleur musculaire donc j 'ai pris des anti -inflamatoires pendant 2 jours.Malgrès le traitement la douleur persistait et s' empirait,j 'ai donc rappelé le soir et il ma fait 2 injections sous-cutanées pour la douleur et l' inflamation.Malgrès les 2 piqures la douleur était toujours là et s'étendait dans le dos et sous la poitrine.La nuit passe et au matin j ai commencé a cracher des caillots de sang assez importants .Mon médecin est revenu et me dirige vers les urgences.Je leur ai precisé desuite que je prends la pillule VARNOLINE depuis 6 mois.Après une serie d examens ( prise de sang ,radio) ils en concluent a une pneumopatie,donc me voila partie avec une ordonnance pour 10 jours d antibiotique (tavanic).Ils me disent que tout va rentrer dans l ordre et de venir dans 10 jours voir le pneumologue pour un controle avec une nouvelle radio.Les jours passent,je suis mieux mais très éssouflée pour le moindre effort.Je pars a mon rdv chez le pneumologue avec ma radio faite la veille ou il y avait toujours une tache sur le poumon gauche.Le spécialiste pense dessuite a une embolie pulmonaire et me fait donc passer un scanner.Et là me voila hospitalisée car il s 'agit bien d 'une double embolie avec infarctus pulmonaire .Je suis restée 6 jours hospitalisée dont 2 alitées avec bien sur électro-cardiogramme tous les jours,les prises de sang et piqures pour faire coaguler le sang.A ma sortie le cardiologue m' explique comment va fonctionner mon traitement (previscan) car il y a beaucoup de contraintes .
-prise de sang hebdomadaire pour trouver le bon dosage du medicament.
-ne pas absorber trop de vitamine k car ce n est pas compatible avec le medicament.
Je vais etre sous traitement pour une durée minimun de 6 mois en precisant que je n ai que 26 ans et que je suis non fumeuse.
En tout et pour tout ca a prit 3 semaines pour avoir un diagnostic juste.A  ma sortie je depose le compte rendu de la clinique a mon gyneco,qui ne trouve rien de mieux que de me proposer une autre pillule.Ce que j ai refusé car je ne comprenais pas qu' apres ce qu' il m 'etait arrivé il puisse m' en proposer une autre.Je suis revoltée de savoir qu' on puisse nous prescrire ces pillules comme des petits bonbons.Je regrette que l on m' est prescrit ce moyen de contaception car maintenant mes poumons sont fragilisés a vie.
J ai eu tres peur ainsi que mes enfants ,ma famille et mes amis.