Comme vous avez pu l’observer, l’actualité est malheureusement riche de scandales sanitaires. Pour celles et ceux qui ne nous suivent pas sur Facebook, nous avons décidé de relayer l’information sur notre site web car de nombreuses victimes de la contraception hormonale sont susceptibles d’avoir recours à ces médicaments.

GROSSESSE ET USAGE DE LA DÉPAKINE (ET AUTRES ANTIÉPILEPTIQUES À RISQUE) :

• Ce médicament est depuis longtemps déconseillé en cas de grossesse car il entraîne dans de nombreux cas des malformations sur les fœtus créant des handicaps chez votre enfant. Si vous envisagez une grossesse et que vous prenez ce médicament il faut en parler au plus vite à votre médecin.
• Pour plus d’informations et connaître la liste des antiépileptiques concernés vous pouvez consulter le site de l’association APESAC qui a lancé l’alerte : http://www.apesac.org/ Elle est également à l’origine d’une action de groupe.

ALERTE SUR LE DISPOSITIF DE CONTRACEPTION PERMANENTE ESSURE :

• Contraception mécanique portant le nom de « Stérilisation Tubaire » et commercialisée sous le nom Essure par Bayer. Ce dispositif a été recommandé à certaines victimes d’AVC ou d’embolie pulmonaire suite à la prise d’une contraception hormonale qui ne souhaitent plus avoir d’enfants. Là encore, des solutions moins risquées existent.
• Elle est visée dans plusieurs pays par des actions en justice (dont une action de groupe en France) suite à des effets indésirables importants : douleurs, hémorragie, migration incontrôlable, perforation des organes, allergies, …
• Pour plus d’informations vous pouvez vous renseigner sur le site de l’association RESIST http://www.resist-france.org/assoc-r-e-s-i-s-t/

Nous trouvons scandaleuse la situation dans laquelle se trouvent des femmes, soit par négligence du corps médical et de nos tutelles, soit par méconnaissance des risques associés aux solutions proposées et l’orientation du choix de la contraception. Nous étions à nouveau reçu au Ministère de la Santé la semaine dernière : nous avons, parmi d’autres sujets, alerté sur l’injustice et la dangerosité non acceptable des méthodes contraceptives proposées aux femmes alors que des solutions moins à risques existent ainsi que sur la sécurisation de leur parcours de vie suite à un premier accident sous contraceptif hormonal.